Sylvie Hazebroucq
avril 18th, 2023 Posted by Stephanie Rencontres 0 thoughts on “Sylvie Hazebroucq”Sylvie Hazebroucq est journaliste et metteur en scène.
L’Atelier Second Life est un atelier que nous avons créé en fin d’année 2019 avec Maria, Enguerran et Jean-Barthélémy. Nous fabriquons des crackers à base de drêche fraîche.
La drêche, c’est quoi?
C’est le malt issus du brassage de la bière, c’est riche en fibres et minéraux et donc bon pour la santé. Nous sommes ainsi en économie circulaire, zéro gaspi et zéro déchet. Nous travaillons avec les brasseries urbaines Parisiennes.
Nous avons obtenu la certification AB « Ecocert » en milieu d’année et utilisons ainsi des produits bios et français!
Retrouvez nos crackers au Romarin ou au sel de Guérande chez Biocoop, Bien l’épicerie ou la Vie Claire essentiellement pour l’instant.
Vous verrez vos apéros ne seront plus jamais les mêmes!!!! Nos crackers sont croquants, croustillants, bref DÉLICIEUX!
Nous avons fait appel à kisskissbankbank pour pouvoir intensifier notre production aussi n’hésitez pas à nous aider :
Issu d’une famille de vignerons, Jean-Barthélémy Chancel s’est pris de passion pour la bière artisanale lors de ses différents voyages. Il décide de créer sa première brasserie en 2011 : la Brasserie Artisanale du Luberon. Fort de cette première expérience, et désirant redonner à Paris sa bière, il fonde la brasserie La Parisienne en 2014 au pied de la Butte-aux-Cailles dans le 13ème arrondissement.
La brasserie déménage en 2016 à Pantin dans une ancienne usine des années 30.
Née à Paris, La Parisienne est une authentique brasserie artisanale et indépendante qui brasse fièrement 100% de ses bières.
Pionnière du mouvement craft beer parisien, La Parisienne milite depuis 2014 pour le développement et la démocratisation de la bière artisanale.
L’équipe de passionnés n’a qu’une seule obsession : le produit.
Outre les bières permanentes, nous proposons des bières saisonnières et éphémères où s’expriment toute la créativité des brasseurs.
La Parisienne est engagée dans une démarche éco-responsable, et cherche à promouvoir une économie durable par des actions concrètes : ingrédients biologiques, houblons en agriculture urbaine (600 pieds plantés intramuros), valorisation des drêches, et bien d’autres projets.
J’adore les tomates et j’en utilise beaucoup dans ma cuisine. Je les aime sous toutes les formes, de toutes les tailles, couleurs, et goûts.
Quand c’est la saison il faut qu’elles soient mûres, charnues et bien parfumées, avec un peu de fleur de sel et de l’huile d’olive fruitée c’est un régal.
Ensuite quand il n’y en a plus et que je n’ai plus de stock dans mon congélo, ça a été un vrai casse tête de trouver un bon coulis, une passata ou une pulpe de tomates en boite sans trop de sucre, de sel ou de E!
J’ai par bonheur rencontré Nicolas Frisch qui m’a convaincu sur ces produits….. Je lui laisse la parole, il va vous expliquer et vous verrez votre vie de cuisinière va changer!!! :
“En effet, la tomate est un fruit qui fait partie des produits les plus consommés au monde. Aujourd’hui chacun et chacune d’entre nous souhaitons en manger tout au long de l’année. Or il est important pour le respect de la planète de respecter les saisons des fruits.
Chez Mutti, on transforme des tomates de qualité cultivées en plein champs sous le soleil d’Italie et transformées en moins de 24h après leur récolte en été. Ceci afin que l’on puisse retrouver le vrai goût authentique de la tomate dans son assiette toute l’année grâce au process de la conserve.
Mais il est nécessaire de lui porter beaucoup de soin pour qu’elle génère le meilleur de son expression. Chez Mutti la tomate est une passion familiale depuis 120 ans. C’est au cœur de la capitale culinaire de l’Italie, au sein de la Food Valley à Parme qui est aussi célèbre pour son Jambon et son fromage Parmesan, que la marque s’est développée.
Comprendre quelle terre convient à quelle variété de tomate est essentiel pour cultiver des fruits de qualité supérieure. Nos tomates sont le résultat de la terre, de l’eau, du soleil et du temps. Chaque variété a toutefois ses propres caractéristiques et pousse mieux dans certains endroits. Connaître ces différences permet de choisir la tomate appropriée pour ce que vous cuisinez.
Les tomates cerises particulièrement fruitées proviennent du Sud de l’Italie dans les Pouilles où le soleil est propice à leur développement et leur confère un goût naturellement sucré.
La tomate San Marzano doit son nom à la ville de San Marzano sul Sarno et a reçu l’appellation d’origine protégée (AOP). Cette variété est particulièrement adaptée pour être utilisée pelée.
Derrière les tomates ce sont des hommes qui donnent aussi le meilleur d’eux-mêmes. C’est pourquoi nous collaborons avec chacun des 400 agriculteurs qui fournissent Mutti et avec qui nous partageons notre passion et notre dévouement à l’excellence. En les rémunérant plus cher que nos concurrents, on les aide à développer leurs fermes et à innover pour améliorer leurs résultats et protéger l’environnement. Une tomate a besoin d’eau mais de manière contrôlée. C’est pourquoi l’entreprise collabore avec WWF depuis 2010 pour n’utiliser que la quantité d’eau nécessaire à sa bonne croissance et transformation.
Cultiver des tomates italiennes est une entreprise difficile. Chaque année, les conditions météorologiques changent et affectent la récolte de manière totalement imprévue. Le soleil et la pluie sont nos alliés pour amener nos tomates pleines de saveurs à maturité. La plupart de nos agriculteurs ont consacré leur vie à la compréhension et à la maîtrise de l’intégralité du cycle de croissance afin d’assurer la production des meilleures tomates possible. On ne soulignera jamais assez que, dans notre activité, la qualité est le résultat de tout ce qui se passe tout au long de la chaîne de production, du champ à l’assiette.
Une fois les tomates cueillies et arrivées dans l’une de nos usines, les tomates sont triées avec le plus grand soin. Seules les meilleures tomates seront utilisées pour les produits Mutti. Pour assurer la plus grande qualité, notre temps de production est réduit au minimum et nos tomates sont toujours traitées à des températures douces et régulières afin d’en préserver les nutriments et les bienfaits naturels.
Au cœur des valeurs de la marque il y a le respect et la responsabilité des parties prenantes de cette agriculture. Nous avons toujours gardé à l’esprit les grandes et les petites conséquences que nos décisions ont sur les gens, les marchés et les terres qui nous entourent. Nous nous sentons responsables à l’égard des consommateurs, de nos employés et partenaires, des agriculteurs et de nos partenaires commerciaux, de la communauté et de la région, de l’industrie et des marchés.
Des classiques méditerranéens à la cuisine moderne la plus innovante, les tomates en conserves et sauces tomates de qualité supérieure Mutti vous permettront de réaliser votre sauce tomate maison ou toute autre recette à base de tomates. Utiliser le meilleur de la tomate italienne vous permettra d’obtenir les meilleurs résultats dans vos assiettes.“
Le Moringa oleifera est utilisé depuis des millénaires, notamment en Asie, pour guérir de nombreuses maladies. Il connaît un engouement ces dernières années dans nos pays occidentaux. Qui mieux qu’Armelle de Saint Sauveur pouvait nous parler de cet « arbre miracle ». Femme passionnée et passionnante, elle nous raconte son aventure à la découverte du moringa aux multiples bienfaits.
Lorsqu’on me demande comment j’ai découvert le moringa, j’ai envie de répondre : « Je suis tombée dedans quand j’étais petite ! »
J’avais en effet vingt ans, j’étais en stage de fin d’études d’ingénieure agricole dans un lieu paradisiaque : le Conservatoire botanique national méditerranéen de Porquerolles. Non contente de passer mes journées dans une nature de rêve à étudier les collections d’arbres fruitiers méditerranéens, je m’étais impliquée dans une association de développement des plantes adaptées aux zones arides. Je m’intéressais alors à l’arganier, inconnu en Europe. Par ailleurs, l’association avait d’autres projets en cours dont des recherches sur le traitement des eaux avec le… Moringa oleifera.
À l’époque le moringa suscitait un grand intérêt scientifique, voire commercial, pour sa capacité à clarifier l’eau. Ses graines contiennent en effet une protéine qui agit comme floculant, c’est-à-dire qu’elle permet aux particules flottant dans l’eau de s’agglomérer et de se déposer au fond. Notre association était chargée d’enquêter sur les conditions de production de ces graines en Afrique, et d’en rapporter des échantillons pour faire des essais de traitement de l’eau.
Je me souviendrai toujours de ce matin d’hiver où Michel, le président de l’association, frappa à ma porte dès l’aube et me demanda : « Veux-tu partir en mission en Afrique de l’Ouest demain ? B. ne peut pas y aller.» J’ai dit : « Oui, bien sûr ! » Et c’est ainsi que je suis partie en 1989 pour ma première mission à la découverte du moringa.
C’est là, sur les bords du fleuve Niger, que je découvris que le moringa était devenu un « arbre maraîcher ». Les paysans le cultivaient, le taillaient, l’arrosaient, le protégeaient du bétail en tressant des clôtures avec ses branches, et surtout récoltaient précieusement ses feuilles. Cet aliment recherché était (et est toujours) vendu sur les marchés et consommé comme un épinard, cuit avec des oignons, des arachides et un peu de piment, pour constituer une sauce très appréciée dans la région, le kopto. Mais ce n’est pas tout : la feuille de moringa faisait l’objet d’un commerce transfrontalier, était séchée et transportée par camions entiers. Lors du ramadan, les prix s’envolaient, les agriculteurs engrangeaient de bons profits. Je compris que ce petit arbuste pouvait constituer une ressource économique et alimentaire inespérée pour les pays du Sahel.
J’ai rapidement organisé une étude sur la filière moringa au Niger, et j’ai entrepris des recherches sur l’intérêt économique et nutritionnel de cette feuille d’arbre tendre et savoureuse. Les résultats furent étonnants : les rendements et les profits des agriculteurs étaient bien au-dessus de la moyenne, avec des récoltes régulières toute l’année, car le bien nommé « arbre de vie » ou « never die » produisait sans arrêt des feuilles, stimulé par la taille.
Côté nutrition, ce fut encore plus spectaculaire. Les analyses montraient que ces petites feuilles constituaient un véritable concentré de vitamines et de minéraux, sans parler des protéines. Des ONG américaines l’utilisaient déjà contre les carences alimentaires des femmes enceintes et des enfants au Sénégal et en Mauritanie. Et si l’on superposait la carte de la malnutrition et celle de la zone de culture possible du moringa, on constatait qu’elles coïncidaient exactement !
Et c’était parti ! Missions en Inde, le pays du moringa, pour rencontrer des agronomes et biologistes spécialisés, retour au Niger, mais aussi enquêtes au Burkina Faso, au Sénégal, au Kenya et en Tanzanie… Je suis devenue en quelques années une monomaniaque du moringa. Il faut dire que ce petit arbre me donnait du grain à moudre : plante alimentaire mais aussi médicinale, ses graines produisant une huile de grande qualité nutritionnelle et cosmétique, sans oublier le traitement des eaux qui suscitait un intérêt grandissant.
Au bout de quelques années, j’eus l’opportunité de partir vivre et de travailler au Kenya, puis à Madagascar. Je croyais sincèrement que le moringa allait me lâcher ! Bien sûr, il existait une espèce de moringa endémique au Kenya, et deux autres à Madagascar, mais je les laissais plus ou moins tranquilles, étant occupée à d’autres tâches, en particulier ma thèse sur les vols de bétail à Madagascar.
À mon retour en France, quelques années plus tard, j’ai constaté que la communauté mondiale des « fans » de moringa s’était développée, tout comme les connaissances sur ses multiples intérêts. J’avoue m’être sentie un peu dépassée, et c’est là que j’ai eu une idée géniale pour me remettre à niveau : organiser une rencontre mondiale sur le moringa ! Je n’ai pas tardé à trouver des organismes pour financer cet événement, qui eut lieu en Tanzanie en 2001, l’année de la naissance de ma fille. Deux nouveaux départs…
Le colloque fut un succès, rassemblant des scientifiques, personnels d’ONG et entreprises privées de trois continents. Une petite centaine d’invités heureux de mettre en commun leurs connaissances encore parcellaires sur cette plante peu connue. À l’issue de cette rencontre, j’ai créé le site MoringaNews, plateforme d’échanges et d’informations qui nous a permis de rester en contact et qui est rapidement devenu une référence.
Mon passage du monde scientifique à celui de l’entreprise s’est fait un peu par hasard. D’abord une suite de difficultés professionnelles, alors que je n’avais jamais rencontré de problèmes humains ou financiers dans mon travail auparavant. Puis un gros souci de santé – cancer du sein –, moi qui étais d’habitude toujours en pleine forme. Le résultat fut un coup d’arrêt à mes activités « moringuesques ». J’ai donc remisé tout ce qui concernait le moringa au placard, et j’ai commencé à m’impliquer bénévolement dans le mouvement Slow Food, puis dans Disco Soupe, un collectif contre le gaspillage alimentaire. Ce fut une véritable cure d’optimisme : j’y ai rencontré une bande de jeunes entrepreneurs sociaux qui créaient le monde de demain, coopératif, inventif, solidaire. J’ai appris à partager mes idées, à ne plus opposer business et éthique et, surtout, à voir le moringa d’un autre œil !
Mon projet fut bientôt clair : acheter une partie de la production de mes partenaires africains, et créer une gamme de superaliments pour la cuisine à base de moringa pour les consommateurs européens. Le lien était fait entre ma vie d’avant, soutenir les producteurs du Sud, et mon envie de m’impliquer davantage dans l’alimentation en France.
Seulement, il y avait un problème : la vente de produits au moringa n’était pas autorisée en Europe. Comme beaucoup de produits tropicaux, la feuille de moringa était régie par la réglementation « Novel Food » : tout produit alimentaire non commercialisé dans l’Union avant l’entrée en vigueur de cette loi doit faire l’objet d’une demande d’autorisation, une aventure qui peut coûter 200 000 € et prendre deux bonnes années… Mais là, un petit miracle s’est produit : un de mes partenaires a envoyé un consultant à Bruxelles pour étudier la manière de monter le dossier et, au vu des informations apportées, le responsable des produits « Novel Food » a décidé de déclasser le moringa de la liste des produits interdits !
Le deuxième petit miracle fut la découverte, à 100 mètres de chez moi, d’un des seuls ateliers d’insertion par le travail (Ésat) de Paris habilité à conditionner de l’alimentaire, et certifié bio. L’Ésat pouvait se charger de stocker les matières premières, de conditionner mes produits, de gérer les ventes en ligne et d’effectuer les livraisons
Fin 2014, avec une amie de longue date, je décidai donc de lancer Moringa & Co durant le forum Terra Madre de Turin, un événement qui rassemble les petits producteurs du monde entier soutenus par Slow Food, pour mettre en avant la biodiversité alimentaire et culturelle. Ce fut un beau succès.
L’adhésion d’une clientèle soucieuse de sa santé et ouverte à l’innovation fut au rendez-vous. L’implication de partenaires financiers nous a permis d’envisager un développement rapide.
Voici le récit de mon histoire humaine avec ses élans, ses déconvenues et ses petits miracles à saisir. Comme la vie en somme… le moringa en plus !
Le moringa est utilisé depuis des siècles comme remède de santé par la médecine traditionnelle indienne ayurvédique. Sa teneur en antioxydants bat le record de la baie d’açaï et ses apports en protéines, vitamines et minéraux placent cet arbre de vie en tête du classement des légumes les plus riches au monde en nutriments.
Cet arbre originaire d’Inde est cultivé dans toutes les zones tropicales pour ses nombreux usages alimentaires (fruit, feuille), médicinaux (toutes les parties de la plante), cosmétiques (huile) et même industriels (traitement de l’eau avec la graine). Cependant, ce sont ses feuilles qui ont connu le développement le plus spectaculaire : sous forme de poudre séchée, elles sont utilisées depuis une vingtaine d’années pour lutter contre les carences alimentaires en Afrique et en Asie. La poudre de feuilles de moringa est ainsi incorporée dans des bouillies pour bébé, des biscuits, des boissons, ou ajoutée aux plats cuisinés.
La feuille de moringa est le végétal le plus complet en micronutriments, selon le World Vegetable Center. Cet aliment 100 % végétal et naturel assure l’équilibre des apports grâce à sa teneur exceptionnelle en vitamines, minéraux et antioxydants. De plus, la poudre de feuilles offre un quart de son poids sec en protéines et contient tous les acides aminés essentiels. Riche en acide caféylquinique et en chlorophylle, son action détoxifiante sur le foie est égale à celle de l’extrait d’artichaut. Ses propriétés médicinales contre le diabète, l’hypertension et les maladies cardio-vasculaires sont confirmées par de nombreuses recherches scientifiques.
Un superaliment est efficace à partir de quelques grammes par jour, associé à d’autres aliments qui en facilitent la digestion : c’est pour cette raison que le moringa (comme les autres superaliments) est intéressant à utiliser en cuisine plutôt qu’en gélules. Cru ou cuit, dilué dans de l’eau ou dans des corps gras, la variété des modes de consommation assure l’assimilation optimale de tous les nutriments. Le fer par exemple sera quatre fois mieux assimilé cuit, alors que la vitamine A sera mieux fixée par l’organisme si elle est crue et associée à des lipides.
Son goût de chlorophylle acidulée apporte du peps. Entre l’épinard et le cresson, sa saveur végétale légèrement piquante relève les plats, les smoothies, et peut s’incorporer dans les pâtisseries à l’instar du thé matcha. Une à trois cuillerées à café par personne et par jour, mélangées à une soupe, un risotto ou une vinaigrette, diluées dans un jus, suffisent à faire le plein en nutriments essentiels, à combler les déficiences de l’organisme et à lutter contre les virus.
Le moringa est bon pour tous ! Pur, il est adapté au régime végétarien et est sans gluten. Sa consommation est particulièrement un atout pour les intolérants au lactose, grâce sa forte teneur en calcium assimilable et en vitamine B2.
André Metz est garde de chasse en Alsace depuis plus de 15 ans. C’est un passionné de nature, de faune et de flore. Il met tout son cœur dans son travail et connaît son territoire sur le bout des doigts.
Il sait où vont se nourrir les sangliers, où la biche se promène à la tombée de la nuit avec son petit, ou la chevrette aime courir en bordure de prés, quel est le rituel de son cerf le plus âgé …..
C’est à force d’observation, de surveillance et aussi de bienveillance qu’il sait tout cela. Le bien être des animaux est primordial pour lui. C’est un métier magnifique que j’admire et respecte beaucoup !
André vous explique son métier :
“Garde chasse depuis plus de 15 ans, je suis le gestionnaire de plusieurs territoires de chasse en Alsace pour le compte d un adjudicataire. Mon rôle consiste à veiller aux équilibres de la faune et de la flore et assurer la plus grande biodiversité. Pour cela, j organise les cultures à gibiers, les plantations de haies et les créations de mares avec l aide de la fédération des chasseurs ainsi que des associations locales de protections de la nature. Je suis aussi le relais entre le monde agricole, les responsables communaux et l‘ adjudicataire. Je dois sensibiliser les utilisateurs de la nature au respect de l environnement. Je veille à la réalisation des plans de chasse en accompagnant les chasseurs pour l affut et l approche et organise les battus. Je m occupe ensuite du traitement et de la commercialisation de la venaison. Titulaire de la médaille d or du brevet grand gibier et piegeur agrée, mon travail est passionnant et demande des connaissances poussées dans des domaines variés. “